Georges Maglica

 Georges MAGLICA participe à la 22^ème Fête du Livre d'Autun les 6 et 7 avril 2019

 

Issu d’une famille immigrée, Georges MAGLICA, promis à un travail non qualifié, accédera malgré les difficultés aux études supérieures et gravira les échelons de l’échelle sociale. Proviseur à Autun, puis à Dijon, il aura des responsabilités académiques.
 

Georges Maglica qui a participé à la Fête du Livre 2018 revient cette année avec un récit historique  :  Bonaparte à l’heure allemande,1940 - 1944 Résistance et Collaboration au collège Bonaparte à Autun Saône-et-Loire 
Présentation en 4^_ème de couverture : 
Les événements qui se déroulèrent à Autun, préfecture de Saône-et-Loire en zone occupée, de 1940 à 1945, illustrent ce qui s’est passé à l’échelle du territoire national. Le récit de cette histoire locale se veut une contribution à l’histoire tout court. « Savions-nous seulement qu’il y avait la guerre? On pensait surtout au plaisir… » rapporte un témoin. Pourtant, la guerre est là, et à l’intérieur du collège Bonaparte, les futurs traîtres et les futurs héros sont là… et ces adolescents qui s'affrontent dans de pacifiques combats sportifs, s'affronteront bientôt les armes à la main: beaucoup verseront leur sang, plusieurs y laisseront leur vie.   Suite à un long travail de recherche de documents et de recueil de témoignages d’acteurs de l’époque, Georges Maglica publie ici le résultat de ses travaux dans un récit historique qui évoque l’avant-guerre pour mieux revenir sur les événements tragiques que connurent le collège et la ville d’Autun

 

L’odeur du Seringat (Editions de l’Armançon – Précy-sous-Thil, 2017) est son premier roman. Nouant une intrigue digne d’un roman policier, Georges MAGLICA retrace l’histoire d’un enfant de l’après-guerre mêlé à une mystérieuse mort, et surtout à une mystérieuse disparition.

                                                                                                                                                           

Hiver 52, un petit village isolé de l’Auxois. Le jeune Yurek assiste bien malgré lui à une violente altercation entre deux hommes. Le lendemain, il apprend la mort de l’un d’eux, et la disparition de Natacha, sa cousine. Que s’est-il passé ? Qu’est-elle devenue ? Hospitalisé quarante ans plus tard, le narrateur, incité par le praticien, tente de reconstruire le récit de son épopée personnelle. Usant tour à tour des ressorts de l’autobiographie, de l’autofiction, du roman d’amour, du roman à suspense, il dresse le portrait d’un enfant oscillant entre le bien et le mal dans un milieu parfois sordide et réalise la peinture sociale d’une époque révolue.