Cécile Guidot



Cécile Guidot devait participer à 23 ème Fête du Livre d'Autun, les 4 et 5 avril 2020

image : Année 2019/F2019_GuidotC.jpg

crédit photo : B. Baudesson

                                 Après une école de théâtre et des études de droit, Cécile Guidot devient notaire, spécialisée en droit de la famille.

 Bourguignonne vivant à Paris, elle  publie son tout premier livre en 2019 : Les Actes aux éditions JC Lattès.  Ce livre est une plongée passionnante du côté de ceux qui sont les témoins des grands moments de nos vies, qui assistent à nos joies, à nos douleurs, à nos rancunes. L’argent et les sentiments se mêlent. C’est violent, cruel, tragique, poétique et comique. 

 Dans Les Volontés (Lattès, avril  2020), deuxième livre de la trilogie,  nouvelle plongée dans le cœur battant d’un office notarial, avec en toile de fond la réforme Macron qui a révolutionné le notariat, Cécile Guidot met en lumière les difficultés du monde du travail, la quête de sens face à la pression, à la logique des profits, à l’autorité des chefs, des puissants. Les masques tombent et montrent que les actes sont souvent éloignés des volontés.
 

                                                  Guidot Les actes                                                       image : Annee 2020/F2020_GUIDOT_Cecile_couv_.jpg                                                  

 

«Claire Castaigne ne ressemble guère à l’image qu’on se fait d’une notaire : elle a trente-deux ans, ses parents ont une ferme en Bourgogne à la lisière de la foret et c’est là qu’elle a grandi, sans hériter d’aucune charge. Elle roule à moto dans Paris, elle porte des tatouages, vit seule, lit Marguerite Duras pendant ses pauses déjeuners et répond parfois à une invitation pour une nuit sans lendemain avec un homme rencontré sur un site de rencontre. Mais dans son travail à l’office notarial  rien ne transparait de cette vie solitaire, secrète et différente  : elle regarde ce monde sans ironie, elle se consacre à la vie de ses clients, elle est touchée par tous les drames intimes »