Roger Faindt

Roger Faindt a participé à la 14e Fête du Livre d'Autun, 16 et 17 avril 2011.

      Franc-comtois, Roger Faindt est auteur de nouvelles, de romans, et musicien.

      Publié depuis 1997, il obtient le Prix Pergaud 2010 avec « La lettre de Charlotte »( 2010, les éditions du Sekoya). Son œuvre est habitée par l’universalité des sentiments humains qu’il explore dans des romans ayant pour toile de fond les deux guerres mondiales. Ses origines, alsacienne par la lignée maternelle et allemande par la lignée paternelle, n'y sont pas étrangères.
      De « La lettre de Charlotte », il dit : "Les femmes et les hommes de ce roman m'habitaient depuis que j'avais retrouvé leurs traces : des lettres et pour certains des photographies maculées de sang. Il m'était impossible de les laisser là où je les avais trouvés. Il fallait que je mêle et que je raconte leurs vies. Déjà leurs tourments m'accablaient, leurs souffrances couraient dans mes veines. Il était trop tard, j'étais derrière eux, j'accompagnais leurs gestes, j'entendais leurs mots qui déchiraient mon coeur !"

     Il s’est exercé aussi avec succès à la science-fiction, ce  qui le rapproche des jeunes lecteurs : Niobé. La fille aux yeux bleus, roman de science-fiction, Ç Édtions, 2010.

A lire aussi :

10h59 (novembre 1918), Éditions 10h59, Le studio d’imagination, roman, septembre 2009.
Les Âmes simples (Poche, collection Papillon, juin 2009 chez De Borée)
Ils ont cru aux larmes des femmes, Éditions du Sekoya, juin 2006, roman.
La petite maison jaune et douze autres nouvelles. Editions du Sekoya, septembre 2005.
Le Silence des Roses, un été 44, Éditions du Sekoya, septembre 2004, roman.
Le Pays des Ilithyes, Éditions Aréopage, novembre 2002, roman.

      Roger Faindt est aussi scénariste et nourrit depuis toujours une passion pour la guitare classique, instrument pour lequel il a écrit quelques mélodies.
Il partage son temps entre ses projets personnels, les rencontres avec ses lecteurs et des interventions pédagogiques. Artisan des mots, il prête également sa plume pour écrire, avec d’autres, des partitions de vie.