Yves Cusset
Yves Cusset a participé à la 16ème Fête du Livre d'Autun en avril 2013
Il est revenu pour la 20ème édition, les 8 et 9 avril 2017
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Yves Cusset est à la fois philosophe, auteur et comédien. Normalien, agrégé et docteur en philosophie, il est l’auteur de plusieurs essais de philosophie politique. Mais il s’est surtout fait connaître par son parcours d’humoriste. Rien ne sert d’exister, La vie rêvée des philosophes, biographies extravagantes.
Depuis, Yves Cusset a continué son parcours d’écrivain, de prof, de philosophe, d’homme de théâtre…. Le festival d’Avignon n’a plus de secret pour lui !
Après incursion dans le domaine du roman : Socrate de Montceau les Mines ( août 2014), en 2016, il s’est penché sur l’accueil et le droit d’asile dans un essai (Réflexions sur l’accueil et le droit d’asile).
Et comme pour Yves Cusset, « philosopher c’est apprendre à rire- à moins que ce ne soit l’inverse », il a publié cette même année : RIRE, Tractatus philo-comicus et L'amour est enfant de putain.
Yves Cusset n’est pas inconnu dans la région. Il a été à l’origine de « Philo en folie » à l’ECLA à Saint Vallier où il a fait partager aux spectateurs réflexion et rire à travers ses créations théâtrales : « Le remplaçant » , « Pardon Platon » (adaptation d’un abécédaire déraisonné : « La philosophie enseignée à ma chouette »).
Yves Cusset en octobre 2011, au théâtre d'Autun (71)
« RIEN NE SERT D’EXISTER » (ou comment trouver la voie quand on part de rien et qu’on va nulle part) « one man show » véritable redécouverte de l’étonnement philosophique par le biais de l’humour, accessible à tous ceux que la capacité de se questionner et de rire d’eux-mêmes n’a pas complètement délaissés. Il y fait le grand écart entre Descartes et Devos, afin de faire partager à tous la drôlerie des grandes questions de la philosophie : la mort vaut-elle la peine d’être vécue ? L’amour est-il aimable ? Pourquoi la question pourquoi ? Et surtout : comment trouver la voie quand on part de rien et qu’on va nulle part ? Pendant quatre saisons, « Rien ne sert d’exister » a été jouée plus de 200 fois, à guichet fermé pendant le festival d’Avignon, et a bénéficié d’une presse particulièrement élogieuse.