Maurice Gouiran
Maurice Gouiran a participé à la 18e Fête du Livre d'Autun, les 11 et 12 avril 2015.
Maurice Gouiran est né et a grandi près de Marseille. Il vit toujours dans cette région et la métropole phocéenne est présente dans ses romans. Spécialiste mondialement reconnu de l'informatique appliquée aux risques et à la gestion des feux de forêts, il est appelé comme consultant par l’ONU. Il enseigne également à l’université.
En 2000, Maurice Gouiran écrit son premier polar, La nuit des bras cassés. Un pas dans la littérature policière qui sera suivi de bien d'autres, vingt quatre romans très exactement, tous publiés aux Éditions Jigal.
Leur point commun : les intrigues puisent leur source dans les énigmes et les violences de l'histoire, le racisme, les scandales, les injustices et les compromissions des pouvoirs. « Le mérite de Maurice Gouiran est de savoir faire s’engouffrer sous une intrigue policière le grand vent de l’Histoire. Et particulièrement le vent mauvais... » (Jean Contrucci – la Provence). Un engagement assumé par l'auteur, un « agitateur de neurones » tel que le présente son éditeur, qui apporte ainsi un souffle nouveau au monde du polar.
Dans L'hiver des enfants volés (2014), c'est le scandale des enfants volés aux familles républicaines par les franquistes qui est au cœur de l'intrigue. Son dernier roman, Une nuit trop douce pour mourir (février 2015), nous entraîne dans les quartiers sud de Marseille où un tueur, à la manière de Jack l'éventreur, s'attaque sauvagement à de jeunes bourgeoises. Une partie de cache-cache s'engage. Vers quelle vérité ?
En 2000, Maurice Gouiran écrit son premier polar, La nuit des bras cassés. Un pas dans la littérature policière qui sera suivi de bien d'autres, vingt quatre romans très exactement, tous publiés aux Éditions Jigal.
Leur point commun : les intrigues puisent leur source dans les énigmes et les violences de l'histoire, le racisme, les scandales, les injustices et les compromissions des pouvoirs. « Le mérite de Maurice Gouiran est de savoir faire s’engouffrer sous une intrigue policière le grand vent de l’Histoire. Et particulièrement le vent mauvais... » (Jean Contrucci – la Provence). Un engagement assumé par l'auteur, un « agitateur de neurones » tel que le présente son éditeur, qui apporte ainsi un souffle nouveau au monde du polar.
Dans L'hiver des enfants volés (2014), c'est le scandale des enfants volés aux familles républicaines par les franquistes qui est au cœur de l'intrigue. Son dernier roman, Une nuit trop douce pour mourir (février 2015), nous entraîne dans les quartiers sud de Marseille où un tueur, à la manière de Jack l'éventreur, s'attaque sauvagement à de jeunes bourgeoises. Une partie de cache-cache s'engage. Vers quelle vérité ?