Alain Bron
Alain Bron a participé à la 18e Fête du Livre d'Autun, les 11 et 12 avril 2015.
Lauréat de la bourse de l’Aventure dès l’âge de seize ans, Alain Bron part seul au Sahara et en revient chargé d’expériences qui marqueront toute sa vie littéraire et professionnelle. Plus tard, cadre dirigeant puis consultant en management, il se passionnera pour la sociologie d’entreprise.
Aux éditions In Octavo, Maux fléchés est un polar que l’auteur qualifie de « Salade de truands à l’ardéchoise » ! Touillez ensemble un gentil auteur de mots fléchés, un voyou lyonnais et son calibre, quelques mauvais garçons, une veuve vengeresse et un colonel de gendarmerie mélomane, et servez au creux d’une vallée perdue. Vous dégusterez !
Vingt-sixième étage a reçu le Prix Handi Livres 2014. Un aveugle clairvoyant, un PDG colérique, des managers à bout de nerfs, des salariés ballottés… les personnages de ce roman sont à la fois victimes, héros et témoins d’un monde concurrentiel sans concession.
Certes le roman décrit la violence, l’âpreté et le cynisme industriel, mais il offre également des moments d’humour et de tendresse qui se glissent silencieusement dans l’ordinaire d’une tour de bureaux. Très documenté, le roman agit comme une caméra qui, sous des apparences de neutralité distante, filmerait des plans dévastateurs. Attention, donc, il peut produire des effets dangereux ! Après lecture, il est à craindre que l’on soit tenté d'envoyer tout promener pour le seul plaisir de cultiver son jardin…
Aux éditions In Octavo, Maux fléchés est un polar que l’auteur qualifie de « Salade de truands à l’ardéchoise » ! Touillez ensemble un gentil auteur de mots fléchés, un voyou lyonnais et son calibre, quelques mauvais garçons, une veuve vengeresse et un colonel de gendarmerie mélomane, et servez au creux d’une vallée perdue. Vous dégusterez !
Vingt-sixième étage a reçu le Prix Handi Livres 2014. Un aveugle clairvoyant, un PDG colérique, des managers à bout de nerfs, des salariés ballottés… les personnages de ce roman sont à la fois victimes, héros et témoins d’un monde concurrentiel sans concession.
Certes le roman décrit la violence, l’âpreté et le cynisme industriel, mais il offre également des moments d’humour et de tendresse qui se glissent silencieusement dans l’ordinaire d’une tour de bureaux. Très documenté, le roman agit comme une caméra qui, sous des apparences de neutralité distante, filmerait des plans dévastateurs. Attention, donc, il peut produire des effets dangereux ! Après lecture, il est à craindre que l’on soit tenté d'envoyer tout promener pour le seul plaisir de cultiver son jardin…