Stéphane Bret
Stéphane Bret s'intéresse à de nombreux domaines de la vie culturelle : cinéma, théâtre, expositions (peintures, photographies), voyages, et bien sûr la littérature. Il affirme ses orientations : « La réhabilitation du rôle du savoir comme vecteur d’émancipation, de la culture vraiment générale pour l’exercice du libre arbitre, la perpétuation de l’esprit critique comme source de liberté authentique. ». On trouve ces convictions au cœur des thématiques de chacun de ses livres.
Dans son premier roman Pour des millions de voix (Édition Mon Petit Éditeur, 2013), il imagine qu'en 2030 le suffrage universel est supprimé en France, avec tout ce que cela implique : « un hommage aux indignés de la connaissance et de l’émancipation, et aussi aux enseignants, tellement décriés de nos jours ». Son deuxième roman, Le viaduc de la violence (Éditions Edilivre, 2013) traite de l’influence de deux types de violence : la violence économique et sociale, et la violence personnelle. Dans Amère maturité (Éditions Dédicaces,2013), à travers le parcours d'un journaliste, il se livre une réflexion sur l'évolution du journalisme. Comment ne pas trahir les idéaux de sa jeunesse ? Une question que l'on retrouve aussi dans son dernier roman L'Embellie (Éditions Edilivre, 2014) dans lequel Stéphane Bret décrit la vie de salariés dans la France des années 30, leurs engagements militants, la transformation de leurs vies par les conquêtes sociales du Front populaire. C'est aussi « un hommage à la radiodiffusion, media essentiel durant cette période agitée ».
Pour mieux connaître ce auteur : www.bretstephan.com